Eric Bibb - Global Griot - New Album CD Music



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Poursuivre une carrière de cinq décennies, ne jamais se reposer sur ses lauriers, toujours en mouvement, Eric Bibb a un sac plein d'histoires à raconter du monde entier. Donc, voici le griot global, global en effet, enregistré en France, en Suède, en Jamaïque, au Ghana, au Canada, au Royaume-Uni et aux États-Unis ! Si l'expression "Musique mondiale" N'était pas si problématique et mal utilisée en tant qu'outil de marketing, elle convenait à l'approche d'Eric. Mais ne vous trompez pas : il est avant tout un "Blues frère"- un vieux bluesman de l'école qui trouve les moyens d'étendre son domaine.

Le long de son voyage, il a eu la chance de rencontrer des musiciens incroyablement talentueux qu'il considère comme des âmes sœurs. Certains d'entre eux ont été réunis pour cet album comme l'as de la guitare suédoise staffan astner, la légende du reggae ken boothe de la Jamaïque, les grands américains big Daddy Wilson, Harrison Kennedy, Michael Jerome Browne, Linda prévoit de la chorale du patrimoine culturel et deux remarquables Musiciens D'Afrique de l'ouest - guitariste / Chanteur Malien Habib Koité (qui a tant contribué au succès des "Frères à Bamako") et le solo Sénégalais Cissokho dont l'omniprésent kora joue est l'une des beautés de cet album à double disque. Et N'oublions pas la femme ulrika bibb qui contribue aux harmonies célestes.

C'est le travail le plus collaboratif d'Eric à ce jour avec toutes les chansons (en plus de quatre chansons traditionnelles et deux couvertures) partageant des crédits D'Écriture avec divers musiciens impliqués dans l'album. Les deux couvertures ont été enregistrées à l'origine dans les années 50 : "hier soir j' ai fait un rêve étrange" était un hymne du mouvement de la paix. Des enfants ont été filmés en train de le chanter à la destruction du mur de Berlin et il a été couvert par (entre autres) Simon & Garfunkel et Johnny Cash. Le "Noir, brun et blanc" de big Bill Broonzy était sa chanson la plus engagée, hélas toujours pertinente de nos jours. Comme Eric nous l'a dit dans " hisser la bannière ": " je ne me vois pas comme un drapeau hésitant et me voilà, dansant celui-là " - parce qu'il pensait qu'il le devait, confronté à la rhétorique laide qui se répand comme prairie. Les feux, ici et là.

Toujours l'artiste, l'éducateur et le motivation, Eric Bibb, plus que jamais, continue à résonner avec ce qui se passe actuellement dans le monde aujourd'hui.




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