il y a dans ses assemblages de mots une espièglerie désarmante qui
renvoie systématiquement l’ordre établi à sa copie. Témoin vivant d’une
génération en perte de repères mais en quête de vrai, Sim’s avance,
génération en perte de repères mais en quête de vrai, Sim’s avance,
toujours, envers et contre tout. Et pas besoin d’être grossier pour
faire du rap qui tabasse: la vraie vulgarité, c’est celle des
injustices.
En quatre albums et 12 ans d’existence, il se retrouve petit à petit au
devant de la scène musicale jurassienne, puis romande. Repéré par
Couleur 3 dès 2012, et collectionnant les prix et distinctions, Sim’s
fera aussi vibrer bon nombre de scènes suisses, dont Paléo Festival, Le
Chant du Gros, Rock Oz’arenes, les Francomanias de Bulle ou Festineuch’
pour n’en citer quelques unes.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire